Et maintenant on fait quoi?

(écrit un livre niko, si je m'assoie, ferme les yeux et imagine ton récit.
Première des choses qui me vient a faire et l'armement pour la défense.)
Je pense que pour analyser la situation il faut essayer de garder son calme, facile a dire surement et pas a faire selon la famille.
S'informer au mieux pour regarder d’où vient la menace et si il y a menace.( téléphone, télévision, cibie, et autres appareil permettant l'information.)
Analyser la menace, partir ou rester et voir l'idée donnée par son gouvernement, ne veut pas dire qu'on va l’écouter.
a partir de là réunir ma famille au complet si tout le monde répond a l'appel, de toutes manière si ça pue, l'ordre est de rentrer au domicile familial.
Ce que je ferais dans les premiers temps serait de partir avec la moto en éclaireur pour visualiser les routes libres et celle fermées.
Établir un plan de fuite si fallait partir et préparer les véhicules a ça.
Si la menace me permet de rester chez moi, alors tout ce que j'ai préparé me servirait a ça.
Aprés ....................................survivre.

Si il faut partir faudra bien une route de libre, car pas mal seront bloqués voir détruites.
Pour ne pas se bloqués tout seul ou tomber dans une embuscade éventuellement.
Là je ne vois pas comment faire si tu ne sorts pas ?
Tu as une solution ?
drone avec vidéo ?

L'avantage a la campagne, c'est qu'on peut presque toujours rejoindre un point A à un point B en évitant les grandes routes. C'est pour ça qu'il faut bien connaitre la géographie de son coin afin de prévoir un itinéraire bis.

Dans mon cas, je pourrai partir en reconnaissance pour voir l'état des routes en passant par les bois. J'aurai emmené une Cibi portable pour rester en contact avec ma famille.

le probleme de ton senario c'est qu'il met en avant une accumulation de mauvaises decisions prisent precipitament.

certes, il existera toujours une situation dont on aura pas le controle et qui pourra entrainer notre propre chute (voire mort).
en attendant, ma preparation est un melange d'evacuation (moyen de transport et point de chute) et de sédentarisation autonome (resilience)

toutafé.
pour reprendre ton exemple:
armée qui debarque dans ton village, plus d'elec, ça sent le gaz: il me reste toujours un smartphone chargé et une batterie pour pouvoir me connecter à un reseau de diffusion (etranger aussi). je prends le temps de la reflexion et là j'apprends que c'est un cas isolé, je comprends qu'on ne m'en veut pas personnellement donc j'attends que passe l'orage.

l'armée debarque plus d'elec, plus de reseau, je comprends que c'est au moins régionnal, relais HS (on a rien vu venir serai etonnant), j'observe depuis ma fenetre (je vois une autoroute à 5/6km de mon 1er etage), je tends l'oreille (coups de feu, cris,ou message d'alerte/confinement) et j'avise: premiere etape, la foret au dessus de chez moi avec de quoi tenir 3 jours.
mon village n'a rien de strategique et serait vite rasé en cas d'epuration, donc peut de chance qu'ils établissent un QG.
je pourrais revenir chez moi discretement voir ce qu'il reste et prendre une decision.

une armée etrangere debarque sans prevenir, plus d'elec, pas de reseau, pas de radio, ça petarade de partout:
je me confine et je serre mes enfants tres fort en attendant la mort. si je suis vivant le lendemain je refais le cas n°2


il y aura toujours un cas dans lequel on est perdant, croire qu'on peut tout anticiper et surmonter toutes les situation serait utopique.
et se dire aussi que "les cimetières sont remplis de héros" (j'ai plus le film en tete...), et je suis pas un héro

pour moi ça sera évacuation ici il y a de l'eau des poissons et du gibier
je connais très bien cet endroit : je vais souvent

oui jeandupont
notre notre société repose sur le tout électrique
la plupart des gens ne savent même pas que l'eau du robinet
est acheminé via des pompes (électrique)
après c'est un choix soit rester ou soit partir

ha oui,en effet, il y a de quoi faire .

est oui je suis un amoureux de la nature
j'aime me balader en forêt:
le champ des oiseaux le ruissellement de l'eau il y a qu'ça de vrai